9 décembre 2011
Noël et homéopathie
Pendant que la majorité de la population mondiale va tout mettre en œuvre pour avoir un repas digne de ce nom pour Noël, les nantis occidentaux vont avoir avec plus ou moins de scrupules, une idée en tête, ne pas être malade pour le festin. Tels les canons de Navarone, les petits tubes bleus et verts peuvent protéger notre corps à passer le mieux possible ce cap festif.
Tout d’abord, blinder l’estomac pour le repas de Noël. Huîtres, moules et autres fruits de mer mettent souvent à mal des pauvres estomacs plus souvent habitués aux coquillettes. Pour faciliter la digestion de ces mollusques et crustacés, Lycopodium clavatum 9CH est la référence. Bien sûr Noël , c’est également un ou des repas copieux, trop copieux, et l’homéopathie peut pardonner ce péché de gourmandise par quelques remèdes (Antimonium crudum, Pulsatilla).
Et comme les médecines douces forment une grande famille, n’hésitons pas dans les associations de remèdes. La phytothérapie (médecine par les plantes) est également un allié pour faciliter la digestion. Alors revenons aux bonnes recettes de tisanes, d’infusions, de décoctions à base de graines d’anis vert, de feuilles de mélisse, de feuilles de menthe poivrée, de feuilles de sauges, de fleurs d’hysope, de fleurs de véronique, de cône de houblon…